[Voyage] – Préparer ses vacances

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J’avais écrit, il y a quelque années de ça, un article sur ce même sujet, s’il n’est pas périmé, je dirais qu’il avait besoin d’une bonne mise à jour, car il n’allait pas assez loin, ne donnait pas assez de détails et de conseils.

Donc, avec cette nouvelle version, nous allons revoir tout ça plus en détail, mais attention, la photo en voyage est complexe, impossible de tout résumer dans un article, aussi complet que j’aie envie de le faire, il ne sera jamais exhaustif.

Le but ici, de façon détendue et décomplexée, est de vous donner quelques conseils pour bien envisager votre voyage en tant que passionné de photo, que vous soyez pro ou amateur, partant avec des proches, qui eux ne le sont pas ou du moins, ne le sont pas tous.

En effet, un voyage entre passionnés de photo, qui partent dans le but de faire un “voyage photo”, ne s’envisage pas du tout comme un voyage avec des proches, amis ou famille, qui partent avec vous et votre passion.

Mais installez-vous confortablement, on va voir tout ça.

La préparation :

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Préparer son voyage en lui-même, c’est votre job et vous le faites comme bon vous semble … d’autant que je suis très nul pour ça!

Préparer votre voyage par rapport à votre activité photo, là je peux vous aider!

Attention, il ne faut pas croire que préparer son voyage se limite à choisir le bon matériel, c’est plus compliqué que ça … mais allons-y par étapes.

Le matériel:

NON … non … Je ne vais pas vous dire quoi prendre … car il est évident que cela dépend de ce que vous possédez, d’où vous allez séjourner et surtout de votre motivation à transporter le matériel.

La motivation, soyons-en sûrs, c’est ce qui fait toute la différence. Ce n’est pas tant le poids – lourd ou léger -, que vous transportez, qui va poser problème, que l’envie que vous avez de le transporter.

Comme nous le verrons plus loin, on peut prendre beaucoup de matériel pendant le voyage et sur place, n’utiliser qu’une partie au cas par cas, il n’y a donc que le transport (sauf exception), qui devient difficile. Cela reste donc une question de motivation.

Alors, comment savoir ce dont vous aurez besoin au-delà de votre motivation?

Ce n’est finalement pas si compliqué, car il est évident qu’on ne prend pas le même matériel si on va trois jours à Disneyland Paris, que si on passe deux semaines en Afrique pour un safari.

L’idée est donc de transporter le matériel que l’on va penser être utile pour nous, selon ce qu’on pense photographier et donc ce qu’il y a à photographier.

Le mieux est de faire des recherches avant pour savoir quels sont les points d’intérêt du séjour, puis de là, choisir selon le type de photos prévues/voulues.

Quand on ne sait pas trop sur quoi on va tomber, si on n’a pas de certitude, l’idée va être de prendre un équipement qui s’adapte facilement à la plupart des situations.

Pour vous faire une idée – mais personne n’est obligé de prendre autant que moi – voici mon sac “standard”, quand je ne sais pas quels vont être mes sujets photo:

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L’idée est de ne manquer de rien, on pourrait réduire ce sac à un boîtier et deux zooms pour avoir du grand-angle au télé. Je conseillerai quand même un appareil de secours, ne serait-ce qu’un compact. Ce serait dommage que son appareil tombe en panne et qu’on ne puisse plus faire de photo de tout le séjour.

Le trépied est toujours pénible à transporter, mais il est utile pour bien des raisons, je n’hésiterai pas à en prendre un.

Bien sûr, comme expliqué plus haut, ce n’est qu’un conseil et il est à pondérer avec votre motivation à transporter le matériel, vos centres d’intérêt, votre matériel et vos envies, mais gardez dans un coin de la tête que le matériel qu’on transporte lors du déplacement n’est pas obligatoirement repris en entier lorsqu’on est sur place et qu’on part en vadrouille touristique…

La petite liste qui va bien :

liste-materiel

Je vous ai fait une petite liste “pense-bête”, pour être sûr de ne rien oublier.

Je vous mets la version Word, ainsi, vous pourrez la personnaliser pour qu’elle soit au plus proche de vos habitudes, les documents Word s’ouvrent facilement avec de nombreux programmes compatibles, Google le fait très bien.

Je profite de ce petit sous-chapitre pour vous conseiller très fortement de prendre un ordinateur avec vous ou au moins un videur de carte, car il n’y a rien de plus risqué que de laisser ses cartes mémoire se remplir sans pouvoir les vider et sécuriser ces images.

Je vous laisse cliquer sur l’image d’illustration en haut de ce sous-chapitre pour la télécharger!

Préparez vos compagnons de voyage :

souvenir-de-chine

Camera
Canon EOS 550D
Focal Length
12mm
Aperture
f/3.5
Exposure
1/250s
ISO
100

Cela peut vous faire sourire, mais si vous partez avec une majorité de personnes qui ne sont pas fans de photo, c’est un point capital.

En effet, vous devrez ménager la chèvre et le chou et si on ne réfléchit pas à l’avance, cela peut s’avérer difficile.

Le mieux est de comprendre que votre passion n’est, pour les autres, qu’un moyen d’avoir des souvenirs, rien de plus !

Même si, quand vous leur montrez vos belles photos, ils les apprécient, ils ne savent souvent pas le travail que cela représente derrière. Pour eux, une photo se résume à appuyer sur un bouton et ceci même si vous leur avez expliqué des milliers de fois que c’est une vision erronée.

On en va pas essayer durant les vacances de leur faire changer d’avis, ils auront toujours de la peine à comprendre pourquoi vous voulez passer 40 minutes à photographier une fleur ou un monument, alors qu’une photo souvenir serait pour eux amplement suffisante … et là, je ne parle même pas de sortir trépied et flashs, on est sur du shooting de base!

Le mieux reste donc de faire un deal avec eux!

Sur chaque point d’intérêt, ils vous laissent 10 minutes environ pour faire quelques photos sans vous prendre la tête. Je sais que c’est parfois court, mais il faut faire des efforts. De votre côté, vous leur promettez – et il faut tenir cette promesse, car sinon, ils ne se feront avoir qu’une fois -, de leur offrir de beaux souvenirs des vacances.

Ici les idées sont nombreuses, selon vos envies et moyens, depuis un joli diaporama sur un site jusqu’au livre photo.

Pensez également aux vidéos, c’est souvent de très sympathiques souvenirs et si le montage est bien fait, on peut vraiment obtenir des choses agréables, même pour vous :

C’est le genre de souvenir dont tout le monde raffole, cela demande un certain effort, mais c’est aussi une façon de les motiver à vous laisser plus “d’espace” la prochaine fois … soyons stratégiques, pensons au futur !

Comme on dit, on a rien sans rien !

Le transport :

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C’est le jour du départ et vous voilà tout à fait prêt à partir … mais avez-vous pensé à la façon dont vous allez transporter votre matériel photo lors de ce voyage ?

On va regarder tout ça ensemble, point par point, bien qu’en toute logique ces conseils ne pourront pas être exhaustifs, deux trois astuces ne font pas de mal.

Encore une fois, ce ne sont que des pistes, quelques bases d’idées, car bien entendu, tout dépend aussi de votre propre façon de faire.

Commençons avec ce qui transporte votre matériel …

Les sacs photo :

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Bien qu’il y ait forcément une notion de goût subjectif, il faut penser à l’ergonomie car, selon la durée de transport pour attendre votre destination, vous devrez plus ou moins longtemps porter votre matériel.

L’idée est de ne pas souffrir après plusieurs heures à porter un sac, donc, si on doit porter son matériel longtemps, il vaudra mieux se tourner vers un sac à dos, qu’un sac en bandoulière.

Parfois, il faut faire passer son bien-être avant son esthétique, bien que de façon toute personnelle, je préfère de loin les sacs à dos que les sacs en bandoulière.

Le choix du sac se fera aussi selon le moyen de transport, car on ne va pas envisager les choses de la même façon si on doit mettre du matériel en soute, que s’il voyage dans le coffre d’une voiture.

On va résumer les choses en regardant trois types de moyens de transport, ce qui se fait généralement le plus souvent, même s’il en existe d’autres, comme le car, le vélo, les pieds, l’hélicoptère …etc., mais nous resterons sur ce qui se fait de plus standard.

On va regardez s’il faut du matériel de transport spécifique et surtout comment faire avec son matériel, selon le choix que l’on aura fait.

La voiture :

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Certainement le plus commun et celui qui pose le moins de problèmes, en effet, il nous suffit de bien caler notre matériel dans le coffre et le tour est joué, à la limite, on peut même transporter le tout dans des cartons, j’exagère à peine !

Comme la voiture est très mobile, il est rare d’avoir beaucoup à marcher une fois arrivé à destination, en règle générale, ce ne sont que quelques pas qui nous séparent du lieu de résidence pour nos vacances.

Du coup, le type de sacs que l’on va utiliser n’a que peu d’importance, enfin, seulement si le but de notre séjour n’est pas de crapahuter plusieurs jours dans la forêt ou la montagne, dans ce cas, il faudra penser à nouveau ergonomie, sinon, même si vous prenez tout votre matériel photo, un simple sac suffira pour vos expéditions sur place.

Le train :

train

Soyons francs, je déteste ce mode de transport, mon expérience est donc limitée.

De ce que j’ai pu voir le peu de fois où j’ai voyagé ainsi, c’est qu’il existe des compartiments pour les grands bagages, souvent à l’extrémité de chaque wagon et des compartiments au-dessus de nos têtes pour les “bagages à main” et il semblerait qu’il n’y ait pas de limite dans le nombre de bagages que l’on peut prendre avec soi, ou s’il y en a, j’avoue ne jamais y avoir fait attention … donc, n’hésitez pas à me corriger si je dis une bêtise !

Du coup, il faut penser qu’on devra aller jusqu’à la gare et de la gare – sans compter les changements de trains toujours possibles selon le voyage -, jusqu’au lieu de résidence.

Avec cette vision bien en tête et en connaissant bien la façon de voyager, aucun problème pour gérer son matériel photo, ici, tout comme la voiture, votre limite sera votre motivation … et les sacs, car cette fois, pas de cartons  :-P

L’avion :

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Mon moyen de transport préféré – que je connais très bien, du fait que je le prends très souvent -, mais également le plus limitatif, soyons franc!

Déjà, selon la compagnie, le vol et la classe que l’on va choisir, les bagages en cabine seront limités ainsi que le nombre de bagages en soute, il faudra donc faire bien attention.

Je vous déconseille formellement de faire voyager votre matériel en soute et, si vous voulez vraiment le faire, je vous invite à mettre votre matériel en sécurité dans une valise de transport spécialement conçue pour ça, du type valise de sécurité, avec intérieur en mousse, étanche et résistant aux chocs:

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Je déconseille pourtant au maximum de faire voyager son matériel en soute, cette solution n’est viable que si vous n’avez pas d’autre choix et, vu le prix de ce genre de valise et le fait que vous devrez payer une franchise bagage (si vous n’êtes pas en classe affaire), je suis certain que vous allez réfléchir avant d’envisager cette solution.

N’oubliez pas que votre matériel est fragile et que les personnes qui s’occupent de vos valises n’ont pas le temps d’agir avec douceur, ce n’est ni de la méchanceté de leur part ni un manque d’envie, mais bel et bien un manque de moyens et de temps.

Donc, je me répète un peu, le matériel en soute, c’est UNIQUEMENT s’il est impossible de faire autrement.

Négocier :

Comme souvent, c’est quand on dépense de l’argent qu’on a le plus de facilité, ainsi, si vous voyagez en business class, vous n’aurez presque aucun problème, on peut sans difficulté prendre deux bagages à main plus des accessoires et le matériel photo est toujours très bien accepté.

Il n’y a pas que les bagages comme avantage à voyager en classe affaires, pour les plus curieux, voici une explication que j’avais écrite sur un forum spécial Disney: Ne voyage surtout pas en classe affaire !

Du coup, si vous êtes en classe économique et que vous avez un peu trop de matériel, un sac trop grand ou plus qu’un sac, le mieux est de négocier avec le sourire.

Sincèrement, en dehors des psychorigides que sont les employés d’Easyjet (je pense que c’est plus une directive de leurs supérieurs qu’une réelle volonté de leur part), en expliquant que mon matériel est fragile, qu’il a une certaine valeur, on ne m’a jamais refusé l’accès à la cabine avec mes “suppléments”.

Choisissez tout de même un sac qui correspond aux dimensions des bagages cabine, ils accepteront plus facilement un bagage à main supplémentaire s’il est “standard” que s’il est bien trop grand.

Avec un sourire, on arrive vraiment à tout, il m’est même arrivé que les hôtesses me proposent de mettre un sac un peu trop encombrant dans le compartiment qui leur est réservé.

Parfois, la diplomatie peut venir à bout de toutes les barrières!

En parlant de barrières, normalement vous ne devriez avoir aucun souci au passage de sécurité, en effet, si vous ne tombez pas sur une personne particulièrement zélée, contrairement aux ordinateurs et autres iPad, il n’est (normalement) pas nécessaire de sortir votre matériel photo du sac, pensez à sortir votre ordinateur tout de même.

Passage de douane :

Quel que soit votre mode de transport, n’oubliez pas que si vous quittez le territoire, vous devez passer la douane.

Si dans 99,9% des cas, il n’y a pas de contrôle, autant se préparer au cas où cela arrivait.

Le mieux est d’avoir les factures (ou du moins une copie) avec soi, si vous n’avez pas envie de les transporter en version papier, essayez au moins d’avoir sur votre smartphone des copies électroniques (photo ou document PDF), histoire de pouvoir justifier de la possession de votre matériel.

Il serait dommage de payer des taxes de douane sur du matériel qui vous appartient depuis longtemps!

Le lieu de séjour :

Stitched Panorama

Le lieu où vous allez séjourner a toute son importance et ceci pour plusieurs petites raisons, mais la plus évidente reste celle de la sécurité de votre matériel lorsque vous êtes absent.

Il est vraiment important d’avoir la possibilité de laisser une partie de son matériel quand on va vadrouiller.

Si vous avez loué une maison, aucun souci, vous allez laisser le matériel dans la maison et tout ira bien.

Si vous avez une chambre d’hôtel, selon la catégorie ce sera plus ou moins simple. En effet, les chambres qui ont un coffre permettent de laisser une partie du matériel sans se faire trop de soucis.

Malheureusement, toutes les chambres n’ont pas ce genre d’installation et parfois, quand elles ont un coffre, il est trop petit.

De fait, au moment de choisir le matériel que vous allez emporter, il est important de penser à vous renseigner pour savoir si vous aurez ou non la possibilité de laisser une partie de celui-ci en sécurité.

De la même façon, il me semble impératif d’avoir un lieu de vie avec une connexion internet, non pas pour surfer ou mettre à jour vos statuts Facebook, mais bien pour avoir la possibilité de sauvegarder les photos déjà réalisées sur un cloud, ainsi, en cas de vol ou autres problèmes, vous images seront, elles au moins, en sécurité.

Assurance:

En parlant de sécurité, n’hésitez pas à souscrire à une assurance pour votre matériel, surtout si celui-ci représente une certaine valeur.

Un vol, un accident ou même une perte arrivent bien plus vite qu’on ne l’imagine.

Avec une assurance, on a au moins la consolation qu’on pourra se racheter notre matériel en cas de problèmes.

Les expéditions :

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Le conseil peut paraître évidant, mais ce qui va sans dire va souvent bien mieux en le disant … ayez toujours votre appareil photo à portée de main!

En effet, il serait dommage de rater une photo, car on a eu la flemme de sortir son appareil du sac.

Alors certes, si c’est lors d’un séjour chez Mami Germaine que l’on voit 6 fois par année et qui habite à 200km de la maison, c’est moins grave que si on loupe une photo lors d’un séjour à l’autre bout du monde et dont la prochaine visite n’est même pas envisagée.

Il est évident qu’on ne fait jamais “trop” de photos !

Il vaut mieux faire des photos pour rien, que ne pas faire une photo que l’on finira par regretter.

De la même façon, une fois arrivé sur un lieu touristique, votre première mission ne sera pas de faire la photo parfaite, mais bel et bien de faire LA photo souvenir.

Une fois la photo souvenir enregistrée, qu’elle soit juste passable ou top, vous pourrez vous consacrer à faire des photos originales et prendre plus de temps pour réaliser vos plus beaux clichés.

N’oubliez pas que l’on a négocié notre “temps photo” en promettant de ramener des souvenirs, autant commencer par les photos souvenir, car une fois ce point réglé, on peut s’occuper des photos que l’on aime vraiment.

Dans le même esprit, photographiez tout ce que vous voyez, car, ce qui vous semble inintéressant d’un point de vue photo, pourra très bien être un centre d’intérêt important pour le “souvenir” et vos proches, qui vous accompagnent, seront certainement ravis … pensez à les rendre heureux de votre travail, pour avoir encore plus de liberté la prochaine fois !

Le retour :

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Après un sympathique séjour plein de photos, du moins je l’espère, vous voici de retour à la maison.

Ce n’est pas encore le repos du guerrier, il vous reste quelques petites choses à faire avant de vous reposer de vos vacances …

La première chose à faire est de transférer toutes vos photos sur votre disque dur de travail habituel et de commencer les sauvegardes de sécurité, mais cette partie, je pense que vous savez comment faire.

Ne remettez pas à demain cette étape, c’est le bon moyen pour laisser traîner les choses pendant des semaines et on n’est pas à l’abri d’une fausse manipulation, surtout si vous avez fait des photos lors du voyage retour que vos n’avez pas encore déchargé les dernières images.

Déchargez vos cartes et vos disques durs de voyage, vérifiez que tout est à jour côté sauvegarde.

Dans un deuxième temps, occupez-vous de votre matériel, ne le laissez pas dans le sac, rangez-le et nettoyez-le un coup, surtout si vous êtes parti au bord de la mer, le sel marin ne se voit pas forcément, mais il attaque très clairement votre matériel.

Je sais qu’après un long voyage on n’a pas envie, mais encore une fois, c’est un geste de prévention simple, qui évite bien des problèmes.

Ensuite, laissez passer quelques jours …

Oui, je vous conseille bien de laisser quelques jours passer avant de trier et de classer vos images, c’est le meilleur moyen d’avoir un bon recul sur votre production et de ne pas agir dans l’émotion du retour de vacances.

Vous verrez, votre regard sera différent après ce laps de temps!

Conclusion :

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Voilà, j’espère que cet article aura permis de vous aider pour votre prochain séjour et ainsi de vous faire profiter un peu mieux de vos vacances.

Malgré ma volonté d’être le plus complet possible – l’article fait plus de 3’500 mots -, je sais qu’il manque encore un tas de conseils.

Donc, si vous avez d’autres astuces,  n’hésitez pas à les partager dans les commentaires, histoire d’en faire profiter tout le monde!

Sur ce, je vous laisse, j’ai besoin d’un peu de repos …

Bon courage et bonnes photos!

Un Tips pour pleins de superbes contre-parties

À propos de l'auteur:

Il est beau, fort et musclé... Enfin, s'il n'est pas tout ça, il est passionné de photo, passion qu'il essaye de vous transmettre du mieux qu'il peut!

41 Comments
  1. Sartarius

    Un tres bon complement du 1er article….par contre je suis pas d’accord pour un truc….

    LES PHOTOS DE MAMI GERMAINE, C’EST SUPER IMPORTANT :nawak: :zooh:

  2. Cédric68

    Le récit annexe sur la classe affaires…. c’est tellement ça ! Pour le boulot, je voyage aussi pas mal. Du coup, même en privé, je ne m’imagine pas voler en éco pour un vol en dehors de l’Europe… avec en prime le matos photos à emporter. En éco, on tombe parfois sur des pinailleurs (dédicace au guichet de Swiss à Vienne qui m’a fait baisser mon sac photo à 8kg. J’ai mis le boitier autour du cou, un caillou dans la poche et le tour fut joué).

    Personnellement, si je voyage seul (donc pour le boulot), je fais un premier tri rapide pendant le voyage après la sauvegarde. Et même en couple, je prends quelques minutes pour revoir rapidos les photos du jour et faire un tri rapide.

    Quand on part avec un organisme dans l’idée de faire un voyage photo, un petit notebook est utile, car ce peut être alors l’occasion de confronter quelques clichés bruts de fonderie, avec quelques conseils que l’on peut appliquer dès le lendemain. Et voir ce que d’autres font en même temps que vous sur le même sujet contribue à vous aider à développer votre créativité.

    • Tout comme toi, je n’arrive pas à imaginer partir (même pour le loisir) autrement qu’en classe affaire.

      Sinon, je suis assez d’accord avec ta vision de confronter quelques photos.

      Merci pour ton commentaire!

  3. Waouh vous partez en vacance, vous avez de la chance ! cela fait des années que je n’ai pas pris de vacance pour voyager, visiter le monde qui nous entoure ;) A vrai dire c’est un peu m’a faute, car quand je voyage je n’aime pas compter :zooh:

    Toujours un très bon article, qui donne envie :ll:

  4. Je n’ai pas encore lu l’article (ça va venir :) ) donc je ne sais pas si tu l’évoque mais pour les voyages et la photo, j’ai eu un bouquin à Noël que j’ai beaucoup aimé ! “Les secret de la photo de voyage” de chez Eyrolles
    Très bon livre pour la préparation du voyage côté photo et bien plus encore :)

    Aller… à la lecture ^^

    • Et bien c’est un très bon article ^^
      Il est vrai que c’est toujours la grande question, quand on part en voyage, le matériel photo..
      Dans mon cas, les voyages sont à 90% des grandes randonnées, donc le matériel photo à la plus petite place (ou presque.. je préfère sacrifier un slip au réflexe :lol: )
      Mais le réflexe reste trop lourd (et l’ai presque regretté la dernière fois.. ) et je vais plutôt trouver un bon compact pour le prochain voyage.. Mais ça reste une contrainte perso ^^

    • je suis en train de zieuter cela… je ne sais pas du tout ce que je vais prendre, on verra bien
      Peut-être pas un compact expert, c’est un budget ^^ mais une tite gamme en dessous sans doute

      • je suis toujours preneur ;)
        sans trop réfléchir, je partais sur un simple sx710 HS (léger, pas cher, apparemment efficace si on en croit ce qu’on voit à droite à gauche..)
        Mais suis sceptique & perdu… je ne sais pas du tout ^^

  5. victorien

    Bjr,
    Sympa l’article comme tous les autres :-), j’essaie de diminuer le nombre de mes objectifs (surtt pour les vacs) et j’attends avec impatience le test du canon 24-70mm F2.8 V2, le prix est élevé mais je pense qu’il en vaut la peine.
    Dans l’attente de lire le test bientot :-).
    cldt

    • Alors, cette photo date un peu, donc, la crème n’est plus de la NIVEA mais une autre, et je n’ai pas le choix, ayant une dermatite aigue, je dois avoir de la crème avec moi.

      Pour le casque, TOUJOURS, j’aime trop la musique pour m’en passer, j’ai changé de casque, toujours un Beat, tout un Studio, mais version 2 en bleu ^^

      Pour le nounours, c’est un cadeau de ma nièce, pour qu’elle soit “avec moi” même quand je ne suis pas là, donc, oui, il me suis toujours également ^^

  6. Telyt560

    Un sujet qui ne se démode pas, excellent article ! Merci Darth.

    Pour les voyages en avion, j’ai commencé par acheter le sac aux dimensions requises pour le vol en cabine, et ensuite vérifié que celui-ci ne dépasse pas 8 kg une fois rempli.
    Résultat : seul le trépied voyage en soute et tout va bien.

    Pour ceux qui possèdent plus de 10 optiques, n’oubliez pas que l’on réalise 95% de ces photos avec nos 4 ou 5 objectifs préférés. Faites le calcul…

  7. GAUTHIER

    C’est très bien la classe affaire mais la différence de prix avec l’éco je peux me payer un cailloux après 2 voyages !! ou un autre voyage ! Pour le matériel j’ai opté une fois pour toute: Mon d7000 et comme objectifs: un 35mm f1.8 + un 17-50 f2.8 + un 70-300 mais celui là je vais sans doute le remplacer par un 11-16 f2.8 car je ne m’en sert pas souvent. et il est assez lourd. Par contre j’emporte toujours mon Fuji X20 au cas ou et si un jour j’ai envie de marcher léger. Dans ta liste personnellement j’ajoute toujours une housse anti pluie car en cas de mauvais temps sur plusieurs jours ça me ferait raler de me restreindre les shoots.

  8. Personnellement je n’ai jamais eu de soucis pour prendre mon matériel en cabine, que ce soit avec des courts – moyens – long courrier. Il suffit d’expliquer calmement à la personne (avec une copie des factures) le montant du matériel. Si la personne ne veut pas il faut user de stratégie, demander son petit nom pour savoir à qui la compagnie devra facturer les éventuelles casses :zooh:

    Pour l’avion il faut également regarder les petits caractères, certaines compagnies autorises deux bagages en soute et deux bagages à main pour les vols longs courrier avec ou sans escale. Cela vaut parfois la peine de fouiner un peu sur le site de la compagnie qui sera choisi

  9. Alex AINA

    En voyage comme je veux souvent tout prendre mais voyager léger quand même, je suis passé au micro 4/3 après 25 ans de réflex.
    Hormis le somptueux velouté du bokeh à pleine ouverture en 24×36 qui est plus délicat à obtenir à cause de la profondeur de champ doublée à ouverture identique, je ne peux que me réjouir: Certes on est plus limités en pixels (mais j’imprime rarement plus grand que du A3), la dynamique est légèrement inférieure aux ténors (mais il y a le HDR si nécessaire) et les hautes sensibilités sont cantonnés à 3200 iso (ce qui est amplement suffisant dans l’immense majorité des cas) mais à part ça il n’y a que des avantages!
    J’ai choisi un Olympus E-M1, cher mais tropicalisé et stabilisé 5 axes. Boîtier pro hyper complet, ergonomique, doté d’un bon AF à 10 images/sec et auquel il ne manque qu’un flash intégré pour le fill-in. Pour de la street-photographie il y a des boîtiers minuscules de la taille de mon vieux Minox si besoin… J’ai pris le grip pour améliorer la prise en main avec le télé et surtout pour améliorer l’autonomie grâce à la 2de batterie.
    L’avantage c’est que les excellentes optiques pro Zuiko de l’ancien système réflex 4/3 discontinué sont totalement compatibles moyennant une bague, donc j’ai pu m’équiper en occasion avec des objectifs tropicalisés et super qualitatifs à bon marché. En équivalent 24×36 ça donne: 24-120/2,8-4_ 50-200/2,8-3,5_ 100/2 macro_ 8/3,5 fisheye_ 50/1,8_ 40/1,7 pancake_ converters 1,4x et 2x_ bague allonge_ flash NG 36… le tout pour moins de 2500€ ! Seul le 100 macro n’est pas tropicalisé.
    Depuis j’ai rajouté le 7-14/2,8 et le 24-80/2,8 en M43, encore plus compacts et qui gère le focus stacking en automatique pour le dernier…

    Du coup c’est le 24-120 qui me sert 80% du temps. Avec le 50-200 et le doubleur je couvre du 24 au 800mm en 2 zooms et ~ 2 kg. Et en rajoutant le 14-28 et le Macro je peux faire face à n’importe quelle situation.
    Je rajoute un trépied et surtout un monopode polyvalent (Sirui P-424s, un must-have) et let’s go!

    Je ne regrette pas mon réflex: jamais je n’aurais pu me payer de tels cailloux aussi lumineux, piqués et stabilisés en 24×36 dans un si faible encombrement… Depuis je reprends goût à la photo :)

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