La PDC – Profondeur De Champ

La PDC est un sujet très contradictoire, car facile à maitrisé, mais difficile à comprendre.

Les experts qui vont lire ces lignes vont se dire qu’ils connaissent déjà tout ça, mais restez quand même avec nous chers amis, parfois une petite remise à niveau n’est pas là pour nuire!

Commençons par le commencement, qu’est-ce que la Profondeur De Champ ?

Je ne vais pas vous sortir la définition toute faite, je vais plutôt vous expliquer de façon à comprendre facilement.

Comme on peut le voir sur l’image d’illustration, la tête du serpent est nette (la mise au point a été faite sur son œil), plus on avance sur son corps, plus l’image devient floue.

Ce phénomène vient justement de la profondeur de champ qui représente l’étendue de la netteté entre le point où la MAP a été faite et la transition avec le flou en avant et en arrière de ce point.

Pour mieux comprendre, voici une image qui va illustrer la chose:

Le trait bleu représente la ligne de visée, ainsi que la distance de l’objectif au sujet (l’œil du serpent) et du sujet à l’infini.

Le trait rouge épais vertical, qui coupe la ligne bleue, représente l’endroit où a été faite la mise au point.

Le dégradé rouge clair représente la zone de netteté, on peut noter que les deux traits verticaux rouge clair représentent la PDC, soit la distance sur laquelle le sujet est net, au-delà commence progressivement la zone de floue.

On comprend alors que la PDC est la partie nette d’une photo qui s’étend en avant et en arrière du point où a été faite la MAP.

Comprendre la PDC partie I:

Pour tout connaitre de la PDC, on est généralement obligé d’expliquer quelques points techniques affreusement pénibles pour ceux qui n’aiment pas les maths !

Car, la PDC est un phénomène physique, qui se calcul assez facilement d’ailleurs quant on connait les formules.

Vous allez me demander en quoi des formules et des math vont vous aider à appréhender la PDC ?!

Je vous répondrais qu’après avoir souffert (si peu) avec ces notions un peu barbantes, vous saurez maitriser tous les éléments qui influencent la profondeur de champ.

Mais pour se lancer dans cette petite torture de l’esprit, il faut avant tout savoir ce qu’est:

  1. Le cercle de confusion
  2. L’hyperfocale

Nos amis experts connaissent bien ces deux termes, mais comme on est gentil avec les débutants et les amateurs non experts, on va dire que c’est uniquement pour eux qu’on va faire cette explication (On va continuer à faire croire aux experts qu’ils savent tout !)

Le cercle de confusion:

La définition :

En photographie, le cercle de confusion (CdC) est sur une image, le diamètre des plus petits points juxtaposés discernables à l’œil nu à une distance normale de vision. Il dépend de l’acuité visuelle de l’observateur et des conditions d’observation (en particulier la distance d’observation).

Quoi ? … Mais je n’ai rien compris !

En gros, ça dit que le cercle de confusion est le moyen de savoir ce qui est net, de ce qui est flou de façon plutôt précise et mesurable, avec un seul inconvénient, c’est que tout ça dépend de chaque personne, car la perception du flou est directement liée à l’acuité visuelle.

Pour que cela reste “mesurable” malgré ce problème de perception humaine, on va parler de Cercle de confusion acceptable.

Si vous Cliquez ICI vous allez voir l’illustration de mes propos, A étant le le cercle de confusion “acceptableB, C et D n’étant pas considéré comme net.

Il faut maintenant savoir que des normes sont calculées pour chaque taille de capteur.

Par exemple, un capteur 24*36 aura un cercle de confusion de 0.03, alors qu’un APS-C aura un cercle de confusion de 0.018 (qu’on peut arrondir à 0,02)*

*Erratum: voir explication ci-dessous:

*Petite mise à jour quant au cercle de confusion:

À l’époque ou j’ai écris cet article, les photosites étaient tous de “grande taille” et de fait, le cercle de confusion était calculé en moyenne selon les capteur disponible, qui ne variait que très peu. À l’heure actuelle, entre un plein format de 18 millions de pixels et un plein format de 50 millions de pixel, la taille des photosites varie de beaucoup, du coup, il est devenu impératif de tenir compte du cercle de confusion sur le capteur, cela ne change pas grand chose, mais il était important de le souligner, car si à l’époque où j’ai écris l’article il était “impossible” qu’un capteur APS-C ai une PDC plus courte qu’un plein format, c’est devenu possible à l’heure actuelle. Pour vous faire une idée, je vous invite à lire cet article

Ces chiffres vont être capitaux pour “calculer” la PDC.

Passons au terme suivant !

L’hyperfocale:

Ce mot barbare désigne la distance minimum de mise au point sur un sujet, pour que celui-ci soit net de l’endroit où la MAP a été faite jusqu’à l’infini.

Dit autrement, c’est la distance minimum au-delà de laquelle tout est net. En mettant au point à l’hyperfocale, on est net depuis la moitié de l’hyperfocale jusqu’à l’infini.

Pour illustrer ça, on va prendre l’image ci-dessous:

  1. En rouge, le point ou a été faite la MAP.
  2. En bleu la ligne qui représente la distance de l’objectif au sujet (la sucette) et du sujet à l’infini.
  3. En vert, la zone de netteté qui va de la moitié de la distance objectif sujet et à l’infini après le sujet.

Grâce au cercle de confusion, on peut calculer l’hyperfocale pour un objectif et une ouverture donnée.

Le calcul est donc le suivant:

  • H distance hyperfocale en mètre
  • f est la focale en mm.
  • N est l’ouverture du diaphragme.
  • c est la valeur du cercle de confusion en mm.

Ne soyez pas trop impressionné, au final c’est très facile.

Petite démonstration:

On prend une focale de 35mm qui ouvre à F/4 pour un capteur 24*36 (qui à donc un cercle de confusion de 0,03)

35^2/1000*4*0,03=10.21 mètres.

Ha bon ! Et ça va nous servir à quoi de savoir que si je prends une photo avec un 35mm qui ouvre à F/4 à dix mètres tout sera net de mon sujet à l’infini ?

Je dirais qu’en réalité sur le terrain à pas grande chose, car personne ne va sortir sa calculatrice pour savoir s’il à la bonne distance pour que tout soit net.

Mais cette info va nous servir à calculer la PDC !

Calculer la PDC:

Patience, on est bientôt sorti des math pour parler du concret … mais ce petit aperçu mathématique va vous aider à comprendre comment fonctionne la PDC !

Nous disions donc, comment calculer la PDC.

C’est facile, en utilisant la formule suivante:

PDC = DPN- PPN

8-O  QUOI !?!? Mais vous vous moquez de moi !?!? … Je croyais qu’on en avait fini avec les math, et c’est quoi PPN et DPN ???? 8-O

Du calme les amis, tout ça est simple … Si si, c’est vrai.

Déjà, vous n’avez pas besoin de retenir les formules et différents calculs, ils sont là uniquement pour info afin de bien comprendre la PDC … non, je ne me moque pas de vous !

Allez, on y retourne:

Sachant que:

  1. H représente l’hyperfocale
  2. d la distance de mise au point

Pour mieux comprendre, je pense qu’un exemple est de rigueur !

Reprenons notre objectif de 35mm ouvert à F/4 avec lequel nous allons photographier un objet situé à un mètre.

On sait que son hyperfocale se trouve à 10,21 mètres.

Le calcul va être le suivant:

  • DPN=10,21 * 1 / 10,21 -1 = 1,1
  • PPN=10,21 * 1 / 10,21 +1 = 0,9
  • PDC=DPN – PPN=1,1-0.9= 0,20 mètre

Avec ces chiffres on apprend que la PDC s’étend sur 20 centimètres, que la zone de netteté commence à 90cm de l’objectif et qu’elle se termine à 1,10 mètre.

Comprendre la PDC partie II:

Maintenant que vous êtes soulé au point de ne plus jamais avoir envie de voir des maths de votre vie, nous allons voir pourquoi il était important de passer par là pour bien comprendre la PDC !

Si vous avez bien suivi jusqu’ici et que vous êtes toujours en vie et le cerveau opérationnel (ou si vous avez triché en survolant cette partie math) vous avez du remarquer que la PDC est influencée par plusieurs éléments !

  1. Cercle de confusion sur le capteur* (voir explication plus haut dans l’article).
  2. La focale utilisée.
  3. L’ouverture.
  4. La distance de mise au point.

C’est ces quatre éléments qui vont déterminer l’étendue de la PDC et la faire varier selon que vous changiez l’un ou l’autre de ces paramètres.

Pour bien vous en rendre compte, il vous suffit de faire quelques calculs en changeant les variables … mais comme je ne veux pas vous donner mal au crâne, je vous propose d’aller sur ce site (cliquez ICI)

Il est en anglais, mais très simple à comprendre:

  1. Choisissez votre appareil photo (la liste est très complète).
  2. Choisissez votre focale.
  3. Choisissez votre ouverture.
  4. Choisissiez la distance de mise au point (vous pouvez choisir le système métrique).

Appuyez sur “calcul” et vous avez toutes les infos, et même une version en image pour avoir une meilleure compréhension.

Sur le terrain:

Sur le terrain, pas le temps de calculer, ni même d’utiliser internet pour faire les calcule à notre place.

Donc, dans la pratique il suffit de retenir quelques principes de base très simple.

Plus la focale est courte, plus la PDC est longue, et c’est valable à l’inverse, plus la focale est longue, plus la PDC est courte.

Autrement dit, on aura souvent une PDC très étendue avec un 12mm et une PDC très courte avec un 500mm pour la même distance de mise au point et la même ouverture.

On peut aussi dire que plus la distance de mise au point est courte, plus la PDC sera courte. D’ailleurs, c’est un des problèmes de la photo macro qui ont des distances de mise au point très faible et qui du coup ont aussi des PDC ultra-courte.

Et pour finir, le meilleur moyen de contrôler sa PDC est le diaphragme, plus il est ouvert plus la PDC est courte et plus il est fermé plus elle s’étend (on le voit très bien sur la photo ci-dessous):

Sur la première image, prise à 70mm le diaphragme était ouvert à 2,8. Le fond est flou et difficile reconnaissable. Le diaph a ensuite été fermé à F/16 on commence à reconnaitre la fenêtre sur le fond de l’image. Pour finir, le diaph a été réglé sur F/22 et l’arrière-plan qui n’est toujours pas net est cette fois-ci lisible beaucoup plus facilement.

Le meilleur moyen de gérer au mieux reste l’expérience.

Il ne faut pas hésiter à faire des tests avec tous ses objectifs, faire varier les ouvertures, les distances de mise au point … etc.

Connaitre son matériel et comment il réagit est d’une importance capitale !

À quoi tout cela sert ?

C’est le moment pour nos amis expert de se reposer, car cette partie, ils la connaissent bien.

La gestion de la PDC fait partie intégrante de la composition.

Si on prend la photo ci-dessus, on voit rapidement que la première version avec une PDC très courte évite au regard d’être perturbé par le fond inesthétique.

De même, ma photo d’illustration a aussi une PDC courte pour mettre en avant le regard et la tête du serpent.

Dans un autre cas, comme en paysage ou en architecture, on va privilégier les PDC très étendu par avoir un maximum de détails.

Mais au final, tout ceci n’est que purement théorique, car la gestion de la PDC doit s’utiliser comme un plus dans une composition dont vous êtes le seul Maitre.

En un mot … faites comme bon vous semble !

J’espère que la Profondeur De Champ n’a plus de secret pour vous, j’espère surtout que vous n’êtes pas tombé de fatigue en route … mais si vous lisez cette ligne, c’est que vous avez eu le courage d’aller jusqu’au bout !

Je devrais d’ailleurs demander à tous ceux qui on eu ce courage de commencer leur commentaire par JSA: pour : (J’y Suis Arrivé) … :mrgreen:

Bon courage et bonne photo


À propos de l'auteur:

Il est beau, fort et musclé... Enfin, s'il n'est pas tout ça, il est passionné de photo, passion qu'il essaye de vous transmettre du mieux qu'il peut!

50 Comments
  1. alain84

    JSA!
    Franchement bravo, c’est pas la première fois que je tente de lire des truc sur cette PDC sur différents sites, et en général JSpasA. Mais là oui, on a envie d’aller jusqu’au bout, et je crois que j’ai compris, en tout cas plus ou moins! Alors merci pour cet article clair et précis!

    • Bravo !

      Et merci pour le compliment, cela me fait vraiment plaisir !

      Je suis toujours heureux de savoir qu’un de mes articles à pu plaire à quelqu’un et l’aider à comprendre une notion de photo, merci en tout cas d’avoir pris le temps de lire et de laisser un message ;)

  2. Je voulais juste revenir pour un premier retour sur ma tentative de comprendre pourquoi l’ouverture joue sur la profondeur de champ… Autant dans les formules mathématiques, c’est facile (même si en première lecture je ne comprends pas bien les approximations qui doivent être justifiées sur les ordres de grandeur), autant sur l’explication “physique”… Je suis en pleine improvisation.

    Je ne sais pas s’il y a des gens qui s’y connaissent assez en optique et les lentilles convergentes, car pour mon “ébauche d’explication”, il vaut mieux avoir un bon bagage en physique dans le domaine. Je réassimile l’objectif et ses nombreuses lentilles et sa mise au point à une lentille convergente pour simplifier l’explication.

    Un petit rappel sur la base des lentilles convergentes: Tout rayon (lumineux) venant de l’infini (et qui est parallèle à l’axe central de ladite lentille) converge après la lentille à son foyer. Au contraire, un rayon passant par le point image du foyer de la lentille (le point étant situé devant la lentille) ressort de la lentille parallèle à l’axe et ira à l’infini.

    Repartant de cette explication de base, mon “feeling physique” me dit que:
    Quand on ferme le diaphragme (grande valeur d’ouverture) on ne garde essentiellement QUE des rayons qui sont parallèles à l’axe de la lentille ou presque vu les distances. Ils convergeront donc tous au foyer de la lentille et comme on a bien fait notre mise au point on aura une image nette sur le capteur, de toute la scène, ou presque.
    Quand on ouvre le diaphragme, on fait le contraire, on prend des rayons de toutes les directions qui ne convergeront pas tous bien pour donner une image nette sur le capteur, seul une zone de plan (notre scène choisie) répondra aux conditions pour donner une image nette sur le capteur. Les autres plans de la scène ONT une image nette dans un plan en amont ou en aval du capteur, et par conséquent flou sur le capteur.

    Voilà mon petit retour, sans image, ce n’est pas très clair je pense. Mais je peux essayer de faire un petit article sur mon blog si ça t’intéresse.

    • Superbe explication !

      Merci d’avoir expliqué de façon si clair cette notion pourtant difficile !

      Si tu fais un article sur ton blog, je ne manquerais pas d’ajouter le lien dans mon billet (si tu me l’autorise) afin de le compléter par tes explication !

  3. Chopperrette

    Alors contente que tu trouves ça clair! Pour l’article, je vais essayer de m’y mettre mais il faut faire les schémas donc ça prendra du temps. :D

    Je te préviendrais quand je l’aurais fait puisque ça t’intéresse.

    • Je suis très content que tu ais trouvé cette article intéressant !

      Merci de ton passage, de ton JSA qui montre que tu as été au bout et d’avoir pris le temps de laisser un commentaire !

  4. Rho le genre d’article qui me saoule très vite…Comme je le dis toujours (et évidemment cela n’engage que moi), je préfère tester, bidouiller, essayer pratiquement (et puis merci au numérique qui est aussi là pour ça, quoi…)…

    Ceci dit, hein, bravo quand même pour cette très bonne vulgarisation et le travail réalisé…

    Chapeau m’sieur!

    jojo

    • Je suis d’accord avec toi sur le fait d’expérimenter, le seul souci c’est que certaine chose ne peuvent pas se comprendre avec l’expérimentation.

      Si la plupart des gens savent en gros comment utilisé la PDC, comment la gérer, la grande majorité ne sait pas pourquoi cela fonctionne ainsi.

      Et c’est pour ça que j’ai écris cette article.

      En tout cas, merci de ton passage et de ton commentaire ;)

  5. Mais bien sur, de la théorie, il en faut!

    J’aime bien simplement sortir de temps en temps, ici ou là, que la pratique est ma (la) meilleure façon d’avancer et d’évoluer… :mrgreen:

    • Tu as raison de le faire remarquer !

      Sans rire, je prône aussi que la pratique est la meilleur façon d’avancer !

      Après. la théorie doit être là pour solidifier les bases et comprendre pourquoi une chose fonctionne de tel façon.

  6. Prowler

    Trop bien ce tutoriel. ;-)
    Je me suis fait mes jeux de petites abbaques (focale / ouverture) -> Hyperfocale et (hyperfocale / distance) -> DPN, PPN et DPC.

    J’vais imprimer ça et glisser ça dans la sacoche de l’appareil tient !! :lol:

  7. Prowler

    Y’a assez de choses à penser avec les boutons, réglages, le cadrage,… avant que je ne pense à autre chose.
    En tout cas, et même si j’avais assimilé les notions d’ouverture, profondeur de champs etc, c’est bien de pouvoir mettre des chiffres et des ordre de grandeur dessus parce qu’à part ouvrir en grand ou laisser le boitier gérer son ouverture en auto, j’étais jusque là assez peu “modulé”.

  8. Prowler

    J’espère aussi… ;-)

    Par contre, coté publication, je n’ai rien mis en place pour du partage :???: à part un album pourri dans Facebook (solution de facilité n°1) :|

    Donc si tu veux être mon ami de dans Facebook… :lol: :lol:

  9. Prowler

    Invit’ envoyée… mes publi photo sont dans l’album “chasseur d’image” (oui, en réf. au mag’ ; ça peut paraitre ambitieux, mais ça l’est pas).

  10. Houlà non, passé dans chasseur d’image n’a jamais été une cible très ambitieuse :lol:

    Guy Michel est cool (il a même participé à ma blague du premier avril sur ce blog) ;-)

  11. Prowler

    La réputation du mag’ est ambitieuse… après, j’sais pas, je ne l’ai jamais acheté qu’une fois pour le comparatif estival des reflex du moment :lol:

  12. Ando

    Voilà 1 semaine que j’ai pris la décision de me mettre à la photo avec le projet de jeter mon APN compact pour un réflex.
    J’ai trouvé toutes mes photos de vacances affreuses depuis que j’ai vu et apprécié celles de mes amis avec un réflex.
    Depuis une semaine, je parcours Internet pour comprendre les fonctions basiques et fondamentales et voilà une semaine que je bute sur PDC. J’ai tout lu jusqu’ici et j’ai tjrs pas compris et puis… il y a ton article !!!!!! Un bonheur !!! Enfin, j’ai tout compris !!!!!
    Merci pour cet article vraiment brillant et très accessible !! Je te promets tout est clair maintenant sur les notions de PDC !!

  13. Très heureux que cet article ait pu aider et qu’il soit vraiment clair.

    J’essaye de faire en sorte que tout mes articles soient accessible sans avoir des connaissance profonde en photo.

    Je suis d’avis que si l’on peut expliquer simplement, c’est toujours plus utile et instructif que des discours trop compliqué !

    En tout cas, merci pour le compliment et d’avoir pris le temps de laisser un commentaire.

  14. EOS_400D_MkII

    :twisted:
    Merci,
    j’ai compris même les maths :mrgreen:
    seul le cercle reste un peu confu, mon oeil me joue des tours
    j’ai bien dit “mon oeil” car à force de fermer l’autre pour shooter je suis devenu borgne :shock: :shock:
    je vais enfin pouvoir m’attaquer à………………….. l’infini :roll:

  15. Il y a du monde qui est passé depuis… Quand je pense que tout a commencé pour moi sur ce blog en laissant un commentaire ici… :)

    Le temps passe vite… et l’article “promis” je ne l’ai toujours pas fait. :oops: Quand j’ai essayé de faire mes schémas c’était simplement affreux :plok: , à croire que j’ai oublié toutes mes bases en optique de terminale! :(

    Pourtant quelque part j’y pense et je ne désespère pas de le faire un jour. :lol:

    • Heu, en fait en toute franchise je pensais que tu avais simplement abandonné l’idée pour cause de difficulté insurmontable…bon, j’exagère un peu.

      Je pensais que tu ne voulais plus le faire surtout par manque de temps.

      Mais si un jour tu vas au bout du projet, je me ferais un honneur de te faire toute la pub qu’il faut, pourquoi pas publier l’article en duo sur nos deux blog (à ton nom bien entendu).

      8)

    • Oui je comprends…

      Pour le duo, je verrais, en fait je me disais que ça n’allait pas du tout sur mon blog! :lol:
      Mais je vais m’y remettre je pense, il faut juste que je retrouve comment faire les schémas que j’avais en tête. Je dois toujours avoir le brouillon que j’avais commencé. Pour l’instant j’ai eu pas mal de boulot, il faut que prenne le temps de m’y remettre… :-P Je suis sure que je peux le faire, le délai par contre… :mmmh:

    • 8-O Ho mince!!!
      Heureusement le patron n’a pas mis son rappel dans l’iPhone!! sauvée!!! :lol:

      Bon pour le point… et bien je n’ai RIEN fait depuis un an… :roll:

      Oui et ce n’est pas pour demain… :mrgreen:
      On se redit à dans un an?? :hihi:
      Si jamais tu lis ce message… :lol: :lol:

    • :plok: Deux ans plus tard… les mêmes et rien n’a avancé…

      … 2 ans déjà… enfin 3 si on compte la date de publication de l’article.
      J’avais tenté des schémas et ça ne s’est pas bien passé, mes points se coupaient mal bref… la cata.
      Ptet qu’un jour… lointain.

  16. Gordon Shumway

    Franchement, c’est nul que nos appareils numériques n’affichent pas toutes ces infos. C’est pas trop difficile à calculer mathématiquement, et ca serait bien utile si on pouvait les afficher dans le viseur avant la prise de vu.

    • Certes mais j’ai déjà du mal à prendre en compte toutes les infos déjà disponibles, pas la peine d’en rajouter. Ou alors sur l’écran arrière seulement.

      Et puis le plus important c’est de faire la photo! En plus à force tu anticipes le résultat mieux tu connais ton appareil et ton objectif. ;)

  17. RSPhoto

    Encore un très bon article très complet que je découvre aujourd’hui ! Effectivement, c’est peut-être le paramètre qui permet de donner un maximum de créativité dans la composition (après le cadrage ?)
    je m’y suis également interessé dans cet article sur la profondeur de champ plus dédié à l’effet obtenu dans le cadre des photoreportages de mariage

    • Merci de ton passage et pour ton commentaire.

      Je suis content que tu aies apprécié mon article.

      Le tien est en effet orienté de façon différente, mais peut-être est-il plus accessible aussi !?

      En écrivant cet article, je voulais vraiment donner aux gens la possibilité de comprendre pourquoi la PDC agit de cette façon.

      C’est un peu lourd comme texte, mais je pense qu’à la fin on comprend enfin pourquoi et comment certaines variantes agissent sur la PDC.

    • Je trouve aussi que l’article de RSPhoto est plus accesssible… mais le but n’est pas le même de toute façon. Ca ne veut pas dire qu’il est pour autant inintéressant.

      C’est une première approche intéressante, ensuite l’article de Darth est là pour ceux qui veulent le détail de “comment ça marche concrètement”. :)

      Je me demande si c’est l’article au hasard qui a permis à RSPhoto d’arriver ici.. :)

  18. Phil N

    Non! Mais vous êtes fort! C’est déjà quoi votre formation à part la photographie que vous faites? Je souhaite échanger d’avantage avec vous.

  19. Jakez

    L’article est parfaitement clair et très complet, introduction qui va bien évidemment appeler un mais :-)

    Mais il laisse planer un doute sur le rôle de la focale, car à faire varier simultanément tous les paramètres, on peut finir par perdre pied : si on conserve le cadrage de la photo, la profondeur de champ est strictement la même, que l’on utilise un grand angle ou un télé objectif. (Bien évidemment, pour conserver le cadrage, il faudra se reculer si on a monté le télé objectif !)

    La photo sera t’elle pour autant identique ? Non, mais c’est un autre sujet : à cadrage identique, le flou d’arrière plan, ou bokeh pour les intimes, est en effet fonction de la focale.

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