Test terrain: Olympus OM-D E-M1

Le petit, qui a tout d'un grand!

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Il y a des tests que l’on attend de faire depuis longtemps, et je reconnais que tester du matériel Olympus était une envie que j’avais depuis un long moment. Il faut dire que la plupart des utilisateurs ne manquent pas de compliments pour leur boîtier.

Je me suis donc tourné vers Olympus pour leur demander de me prêter un boîtier, je tiens à souligner ici qu’ils ont été d’une efficacité incroyable, rares sont les marques aussi sympathiques et je tenais à le dire, car pour travailler avec beaucoup d’autres marques, j’avoue qu’Olympus m’a réellement surpris en bien.

Ils m’ont laissé choisir l’appareil qui m’intéressait et me l’ont prêté autant que je le voulais, ce qui m’a permis de faire un test terrain vraiment en profondeur, durant de longues semaines le OM-D  E-M1 a été mon appareil principal (sauf exception).

Alors, prenez vos aises, nous allons tout de suite voir ce que le petit a dans le ventre.

Pré-test :

Soyons franc, malgré les compliments et tout le bien que l’on peut dire d’Olympus sur le net, je ne partais pas tout à fait rassuré. Il faut dire que ma seule et unique expérience de la marque s’est faite avec un compact étanche, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous. Le problème, c’est que je n’en ai jamais été très satisfait pour plusieurs raisons, qui ne nous intéressent pas aujourd’hui.

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Olympus OM-D E-M1 | 43mm | f/6,3 | 1/320s | 200ISO

C’est donc, avec un léger doute que j’ai débuté ce test, même si la fiche technique me paraissait plutôt alléchante:

Fiche technique

  • Capteur : Live MOS 4/3 – 16,3 millions de pixels
  • Monture : micro 4/3
  • Antipoussière : filtre à ondes supersoniques
  • Viseur : électronique, 2 360 000 points, couverture de champ de 100 %, grossissement de 1,48x (0,74x en éq. 24×36). Dégagement oculaire 21 mm
  • Écran : LCD de 1 037 000 points. 7,6 cm de diagonale. inclinable
  • Mise au point : autofocus hybride (AF à détection de phase/par détection de contraste) 81 points.
  • Mesures d’exposition : mesure TTL pleine ouverture, 324 zones Système de détection multi-pattern

    324 zones Système de détection multi-pattern
  • Modes d’exposition : P,S,A,M et différents modes scène
  • Vitesse d’obturation : 1/8000 – 60 s (par palier de 1/3, 1/2, 1 IL) et jusqu’à 30 mins, synchro-x 1/250s (synchro super FP 1/4000s)
  • Motorisation : 10 i/s sans AF et sans stabilisation, 6,5 i/s avec AF mais sans stabilisation et 3,5 i/s avec stabilisation et AF
  • Sensibilité ISO : 200 à 25 600 ISO
  • Mémoire : carte mémoire SD
  • Format image : photo : JPEG / RAW, 4608 x 3456 pixels
  • Vidéo : full HD 30 images par seconde
  • Connexion : USB 2, mini HDMI et télécommande, micro externe
  • Dimensions : 130 x 94 x 63 mm
  • Poids : 497 g sans optique, mais équipé (batterie, carte)

En prime on apprend que le boîtier est “tous temps” et très résistant au froid, cela donne un peu une autre vision des choses et on commence à se dire que peut-être que finalement l’expérience sera bonne.

L’appareil photo est présenté en kit dans un très joli carton au design noir et sobre, on le sort et là, il faut avouer qu’on est vite sous le charme de l’engin tant son esthétique est charmante …

Ergonomie :

multivu

Comme on peut le voir sur la photo de présentation de l’article, et sur les différents angles ci-dessus, l’Olympus OM-D E-M1 a un look résolument rétro, un peu dans la même idée que son concurrent le plus direct Fuji et plus récemment Nikon avec leur Df.

Comme quoi, le look rétro pour les appareils photo fonctionne plutôt bien et je dois avouer que pour moi, ça fonctionne très bien, je suis sous le charme, d’autant plus dans le cas d’Olympus où le côté rétro reste sobre et l’idée de modernité reste bien en avant, ce qui est à mon sens un vrai point fort.

Le viseur :

Comme vous le savez, je suis un amoureux des beaux viseurs et je reconnais volontiers que les versions électroniques sont pour moi de vraies bêtes noires.

Alors, c’est un peu anxieux que j’ai jeté un coup d’œil au viseur pour me rendre compte de ce qu’il pouvait bien donner.

Olympus nous annonce très fièrement que ce viseur offre une vision plus “large” que la plupart des reflex haut de gamme, grâce à un grandissement de x 1,43, soit un équivalant de x 0,74 sur un 24*36, et bien ils ont raison ! Mis à part mon Canon EOS 1Dx qui a une visée encore plus large (grandissement de x 0,76) il est bien l’appareil qui offre la visée en terme de surface la plus confortable sur tous les hybrides que j’ai testés.

Les bonnes nouvelles ne s’arrêtent pas là, le petit à une parallaxe temporelle de 29 millisecondes, autant dire que c’est transparent et c’est enfin une bonne nouvelle que de pouvoir suivre un objet sans avoir l’impression que l’image reste figée, très bon point.

Comme la plupart des viseurs électroniques, il offre beaucoup de personnalisations et permet d’afficher des informations très intéressantes. Il est en prime paramétrable à souhait et peut même nous donner en live un “pseudo” rendu HDR.

Pourtant, mes compliments vont s’arrêter là, car bien que ce soit sûrement le meilleur viseur électronique que j’aie eu la chance de voir, il reste un point noir qui fait que je n’arrive toujours pas à accrocher, le rendu des fortes dynamiques de lumière, entre les zones claires et sombres est encore loin de ce qu’offre comme confort un viseur optique. Soit on a des noirs bouchés et les hautes lumières préservées, soit on a des blancs cramés et les tons foncés préservés.

La dynamique offerte par les viseurs électroniques reste encore à améliorer.

C’est pour moi le seul “frein” à un complet engouement pour ce type de viseur. Mais quand on voit qu’ils ont travaillé sur un rendu HDR en temps réel, on peut se dire que le bout du tunnel n’est plus très loin.

Dans tous les cas et dans la plupart des situations, c’était un plaisir que de porter l’œil à ce viseur, qui a vraiment beaucoup d’atouts pour lui.

La prise en main :

Voilà un point que j’ai envie de souligner sur cet appareil, car en un mot, Olympus a fait un boulot juste incroyable pour nous offrir une ergonomie digne de ce nom.

Ils nous expliquent sur leur présentation de l’appareil que celui-ci n’est ni trop grand, ni trop petit, ce qui est tout à fait juste.

La taille de l’appareil est idéale pour qu’il tienne bien en main, surtout grâce à la belle poignée bien dessinée, avec un revêtement agréable qui offre une préhension de qualité, et il reste assez compact pour que l’on ait envie de le prendre partout avec nous.

Si on a de grandes mains, la poignée sera juste un peu courte, et un, voire deux doigts, seront dans le vide, ce n’est pas dramatique en soi, et la compacité doit bien demander quelques sacrifices. À noter qu’il existe un grip vertical qui permet d’améliorer grandement les choses, mais on perd du coup la compacité, il faudra donc faire un choix.

En bref, cela en fait le compagnon idéal pour toutes nos sorties photo, c’est d’autant plus vrai qu’on ne se soucie de rien, ils ont eu la bonne idée de le pourvoir de 60 joints d’étanchéité et il jouit d’une bonne résistance au froid.

60joints

Si je n’ai pas pu vérifier la résistance au froid, j’ai constaté son aisance à supporter une bonne pluie sans broncher. Une journée de photo sous les petites gouttes du ciel, puis un retour à la maison en suivant les conseils que je vous avais donnés dans l’article sur : Photographier la neige, et tout s’est formidablement passé, rien à signaler.

vue-dessus

Pour ce qui est du placement des commandes, c’est très bien pensé, tout tombe sous les doigts et les différents positionnements sont logiques. Comme on peut le voir avec l’image ci-dessus – une capture d’écran du site d’Olympus -, en plus d’avoir des commandes placées avec logique permettant des réglages rapides et faciles certaines commandes sont paramétrable à souhait pour s’adapter à notre façon de faire.

On sent que les ingénieurs ont essayé de penser à tous les détails, et sur le terrain cela se ressent, on se concentre sur la photo sans s’arracher les cheveux à se demander où se trouve telle fonction et comment l’actionner.

Toujours dans cette idée de faciliter la vie des utilisateurs, les menus sont simples et efficaces, l’ordre est logique et on y navigue facilement à l’aide du multiconducteur en croix… et c’est là que je reste perplexe !

En effet, l’écran tactile ne l’est pas tout le temps!

Il est par exemple impossible de naviguer dans les menus grâce à lui, je dois reconnaitre que c’est frustrant, quand on est habitué à des écrans tactiles qui fonctionnent dans toutes les situations et quand on sait à quel point il est plus aisé de naviguer et de régler son appareil avec ce genre de facilité, c’est presque criminel que d’avoir restreint ainsi son utilisation à quelques options seulement, telle que le visionnage des images.

Sauf ce petit “problème” d’écran tactile, l’Olympus OM-D E-M1 est un appareil à l’ergonomie soignée et c’est un réel plaisir que de travailler avec.

Qualité d’image :

24-46-vs-micro43

Comme vous pouvez le voir juste au-dessus, j’ai mis la différence de taille entre un capteur 24*36 et un micro 4/3, si je l’ai fait, c’est que la taille d’un capteur à une réelle influence sur le rendu de l’image à nombre de pixels équivalent. Ce sont les lois de la physique qui régissent ça et ce n’est pas une simple vue de l’esprit. Ce qui sous-entend que les ingénieurs vont devoir travailler dur pour surmonter ces “petites” difficultés.

Alors, qu’en est-il pour l’Olympus OM-D E-M1, sachant que ses concurrents les plus directs, tels que Fuji et Sony, placent des capteurs APS-C dans leur boîtier ?

Nous allons donc voir ça en détail, pour voir s’il y a une réelle influence aussi bien sur la montée en ISO que sur la dynamique générale de l’image.

Comme on ne change pas une équipe qui gagne, voici les points principaux sur lesquels je me penche pour tester la qualité d’image.

Ces différents points, qui rentrent en ligne de compte pour offrir la meilleure qualité d’image qui soit dans toutes les situations possibles, sont :

  • La qualité de l’exposition.
  • La qualité de l’AF.
  • La qualité des images fournies et la gestion de la montée en ISO.

Nous allons donc les détailler afin de voir ce que ces appareils ont à offrir !

La qualité d’exposition :

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Olympus OM-D E-M1 | 12mm | f/3,5 | 1/320s | 200ISO

Ici, l’Olympus OM-D E-M1, joue les métronomes et offre une exposition très juste dans la plupart des situations. On peut compter sur ses compétences pour nous offrir de très belles images bien exposées.

Je trouve qu’il a une réponse plutôt intelligente à chaque situation ce qui permet de se reposer sur lui.

Ma crainte, comme expliqué en début de chapitre, était surtout sur sa capacité à encaisser les gros écarts de dynamique, du fait que le capteur est plus petit que les APS-C que l’on trouve habituellement sur les hybrides:

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Olympus OM-D E-M1 | 12mm | f/6,3 | 1/125s | 200ISO

Pourtant, comme on peut le voir avec la photo ci-dessus, le petit supporte plutôt pas mal les écarts de dynamique et joue assez clairement dans la cour de grands, il n’a pas à rougir de ses performances vis-à-vis de la concurrence, bien qu’il faille reconnaitre que le capteur très spécial du Fuji reste à mon sens un chouia plus performant sur ce point précis.

Pour le reste, on est sur des performances de haut vol !

Autofocus et piqué :

Comme je l’explique souvent, le piqué est directement lié à l’AF, mais également à la qualité de l’optique.

Le kit qui m’a été fourni par Olympus avec l’appareil comprenait l’objectif M 12-50mm f/3,5-6,3. Sans être le plus performant de leurs objectifs – j’aurais préféré la version Zuiko Digital ED 12-40 mm f/2,8 , on a quelque chose qui tient bien la route. Un peu trop sombre à 50 mm à mon sens.

C’est donc avec l’objectif standard que j’ai fait mes tests, ce qu’il en ressort, c’est que l’AF est très performant, et ceci même dans des conditions difficiles, telles que pour la photo macro :

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Olympus OM-D E-M1 | 43mm | f/6,3 | 1/1’600s | 500ISO

L’efficacité de l’autofocus est plutôt bien, la combinaison du double système (détection de phase/détection de contraste) rend le système très performant, que ce soit sur des sujets statiques ou en mouvement.

Il y a plusieurs possibilités de configurations de l’autofocus, ce qui permet de façon aisée et rapide de s’adapter à toutes les situations possibles.

Dans l’ensemble, c’est plutôt bien joué !

La gestion de la montée en ISO :

Si le capteur s’en est bien sorti sur la dynamique de l’image, est-ce que celui-ci va avoir la même réussite avec sa montée en ISO ? La question se pose, car encore une fois, on se trouve face à une configuration difficile pour les petits capteurs, d’autant plus qu’Olympus annonce tout de même une montée à 25 600 ISO !

Comme vous le savez maintenant, si vous êtes un habitué, cela fait un moment que j’ai pris parti de ne plus faire une série de photos à chaque valeur ISO pour vous les présenter.

Je pense simplement que prendre un objet en augmentant la valeur ISO n’est pas un compte rendu juste de la réalité du terrain !

En effet, un éclairage qui donne un 1/20 de seconde à f/5,6 pour 100 ISO, donnera 1/5 000 de seconde à la même ouverture pour 25 600 ISO, ce qui est loin d’être la situation lumineuse la plus catastrophique. De fait, le fichier présenté ne souffrira que très peu du manque de lumière, ce qui sur le terrain est bien différent. En règle générale, on utilise de telles valeurs pour pallier un manque de luminosité.

Quand on regarde la photo d’illustration de ce chapitre (ci-dessous), la fameuse Maison-Blanche Lego que vous connaissez bien maintenant, on voit qu’elle a été prise à 0.4 seconde, pour 25’600 ISO.

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

À première vue et sans se pencher encore sur le crop 100%, on constate que l’image est passablement bruitée, on sent qu’on atteint très clairement les limites de ce capteur.

Si on clique ICI pour regarder le crop 100%, on constate que le bruit chromatique est plutôt bien géré. Pour le reste, on ne peut que constater la perte de détails noyés dans le bruit, l’image n’est pas réellement exploitable.

Pourtant, comme pour la dynamique je reste plutôt satisfait de ce “petit” capteur, jusqu’à 3 600 ISO, c’est un vrai plaisir, il s’utilise facilement et ne pose pas de problèmes, les images sont clairement exploitable!

Pour l’exemple, voici une photo à 2 000 ISO:

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Olympus OM-D E-M1 | 43mm | f/13 | 1/250s | 2’000ISO

Si vous cliquez ICI vous pourrez constater la qualité du fichier avec le crop 100%.

Je dirais que les fichiers supportent sans trop de problèmes la montée jusqu’à 3 600 ISO, à partir de 6 400 c’est jouable pour l’impression avec un bon travail de post-traitement. Au-delà, je déconseille, ou alors uniquement pour un affichage web qui ne dépassera pas 1200 px de large sur un écran.

Conclusion :

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Olympus OM-D E-M1 | 12mm | f/6,3 | 1/125s | 200ISO

Quand je relis les compliments des utilisateurs sur ce boîtier, je ne peux qu’être d’accord avec eux !

Il est clair qu’Olympus a su trouver sa place dans le monde des hybrides et que des appareils tels que l’OM-D E-M1 peuvent être des alternatives sérieuses aux reflex pour ceux qui rêvent de partir équipés de façon légère et compacte.

Il a un look vraiment agréable, une ergonomie soignée, une très bonne qualité d’image associée à un AF performant, de quoi en ravir plus d’un.

J’avoue pourtant que j’aurais vraiment préféré un écran tactile qui le soit dans toutes les conditions et j’espère toujours un viseur électronique qui sache gérer les gros écarts de dynamique, ce qui offrirait le confort d’une visée optique.

En bref, un superbe appareil que je ne peux que recommander et pour ceux qui hésitent, il ne faut plus, vous pouvez passer le pas les yeux fermés, vous n’allez pas être déçu !

Pour acheter cet article, cliquez ICI: Olympus OM-D E-M1 Kit Zuiko Digital ED 12-50 mm 1:3.56.3 EZ

À propos de l'auteur:

Il est beau, fort et musclé... Enfin, s'il n'est pas tout ça, il est passionné de photo, passion qu'il essaye de vous transmettre du mieux qu'il peut!

50 Comments
  1. Telyt560

    Bonne idée, Darth que de penser à Olympus !

    J’ai eu la mission de conseiller une dame qui voulait photographier des oiseaux sans avoir besoin d’un reflex muni d’un 500mm, mais qui ne voulait pas non plus utiliser un compact sans viseur.
    Mes recherches se sont rapidement tournées vers Olympus, c’est ainsi que j’ai redécouvert l’OM-D, moi qui ai utilisé avec satisfaction le systéme OM pendant 15ans.

    Je reste fasciné par la compacité et l’ergonomie de la marque.

    • C’est vrai que j’ai été positivement impressionné par cet appareil.

      Le prochaine que je vais tester sera certainement l’Olympus Stylus 1, qui semble un bridge/compact plutôt impressionnant!

  2. Tony

    Salut tous !
    Je l’avais pris en main pendant 2 heures au dernier salon de la photo ( avec le 28 40 -2.8) et l’ergonomie me convenait parfaitement.
    Un ami vient de le recevoir et sa première impression est : ” Un bijou ” .
    Pour ma part je vais commencer doucement avec un EM10.

  3. bulldog de bidart

    bonjour
    super test comme d’hab’ :tumbsup:
    ne penses tu pas que l’olympus n’est pas un peu cher pour un micro 4/3
    sachant qu’a se prix on peu trouver le Sony A7(plein format) le fuji xt1 et presque le canon 6d(sans optique)

    la super idée serait de faire un petit comparatif pour une utilisation amateur eclairé, entre un plein format entré de gamme (6D ou d610) un plein format evf(A7 j’ai cru comprendre que c’est dur d’en avoir un en test :evil: ) et un fameux petit boitier expert de ton choix(EM1 ou XT1)

    j’aimerai vraiment lire ça écrit avec ton sens critique …
    surtout que c’est mes hésitation du moment et je dois pas être le seul …

    • Pour Sony, on va dire que c’est très difficile, après mon test du A99 … leurs portes sont resté close.

      Pourtant, dans l’ensemble la critique n’était de loin pas mauvaise, mais bon, le silence perdure, je vais essayer de relancer les choses, on verra ce que cela va donner. :tumbsup:

      • bulldog de bidart

        ça serait super un comparatif de ce genre
        et les critiques constructive leur permette d’évolué
        pour avoir essayé le A7 dans une boutique je le trouve super sympa surtout pour sont prix (en kit au même prix que le 70D ”apsc”) mais au quotidien je ne suis pas sur qu’il soit supérieur au autre XT1, EM1 et bien sur 6d(presque 1000€ plus cher en kit ne l’oublions pas)

        je compte sur toi ….

  4. rome

    je le possède depuis fevrier 2014, en remplacement d’un reflex semi pro (très lourd),
    je confirme un bijou, d’une facilité d’utilisation, tellement agréable. je n’ai pas encore exploité tout son potentiel, mais il n’y a pas à hésiter.
    Le bémol que je lui attribue, la batterie, qui ne tient pas beaucoup, j’ai dû en reprendre deux autres (génériques). Voilà pour moi, son seul défaut.
    Merci pour ce test bien réalisé.

  5. Stéphane

    Merci encore pour ce test, aussi intéressant que tous les autres.
    Pourtant il manque je trouve, parfois, une prise de position entre boîtiers du même type. Je sais bien que tel ou tel choix dépend du type de photos que l’on fait, mais…

    Je trouve pour ma part qu’il est délicat de comparer ce genre de petit boîtier avec un réflex plein format qui sera sans doute plus performant sur bien des points. Suffit de regarder des comparatifs en hauts ISO, ça me semble assez clair qu’un fichier issu de 6D est bien plus propre, et ce dès 800 ou 1600 ISO ! je ne parle que de qualité pure d’image…

    En revanche Darth, je serais curieux de connaître ton positionnement clair entre 2 boîtiers que tu as testés et qui jouent exactement dans la même cour : celui-là, et le X-T1.
    (concernant les optiques, Olympus semble avoir une bonne longueur d’avance, mais les Fujinon semblent hyper piqués)

    Merci :)

    • Méfie toi, les optique Fuji sont très très bonne, et j’avoue avoir été que moyennement séduit par l’objectif en kit. Mais il est clair que j’ai pas eu droit au meilleur.

      Si je devais en acheté un des deux, j’avoue que moi même j’hésiterais pas mal!

      Le X-t1 et l’E-M1 sont deux appareil vraiment performant, et j’avoue que les faiblesse de l’un son compensé par la force de l’autre.

      Mais peut-être qu’au final je pencherais sur le X-t1 pour son capteur réellement exceptionnel que je rêve de voir en FF

  6. Que dire de ton article !!! Bah voila quoi !!!! Après tous les echos en bien que j’en avais eu, ton test confirme l’engouement pour cet appareil.

    C’est tout à fait le type d’appareil que j’aimerais pour seconder mon 6D ou alors attendre que Canon se decide a nous sortir de ses planches ce type d’appareil avec la compatibilité de la monture et ce serait quelques choses de fabuleux :tumbsup:

    • Je ne suis pas contre les hybride, mais pour moi je les vois plus comme des second boîtier quand on veut partir léger.

      Ils sont bien, mais ce ne sont pas des reflex, il faut donc voir les choses avec le recule nécessaire.

      Après, tout dépends aussi ce qu’on attend d’un appareil photo :tumbsup:

      • bulldog de bidart

        si on attend de son boitier un travaille semi professionnel (j’entend par la: je ne vend pas mes photos mais j’ai besoin d’en prendre pour dépanner mes clients pour leur site internet)
        la j’ai l’hésitation entre un hybride de haut vol comme ce cité et un reflex amateur au meme budget le fameux 70D

        • Dans le cas présent, je n’hésiterais pas trop, pour toi l’Olympus semble une très bonne solution.

          Compact, performant, délivrant de bonne image, je pense que c’est tout bon. :tumbsup:

        • Stéphane

          Y’a quand même de vrais pros qui bossent aujourd’hui avec des hybrides…
          Je rejoins Darth quand il évoque le type de photo que l’on souhaite faire.

          Par exemple, Eric Bouvet, que je ne présenterai pas, bosse aujourd’hui avec des Fuji exclusivement (Canon auparavant) en reportage.

          Je suis convaincu que même un pro du mariage pourrait bosser avec des hybrides haut de gamme type E-M1 ou X-T1. Reportage aussi, et paysage sans doute.
          Pour du sportif, avec une obligation de résultat, j’ai des doutes… Pour de la danse, comme je fais (ça cumule toutes les contraintes en même temps : suivi dynamique de mouvements rapides imprévisibles en faible lumière nécessitant des hauts ISO !) j’ai aussi des doutes… pour le moment du moins.

        • Stéphane, je suis assez d’accord avec ton analyse.

          Il est clair que le photographe de sport ou animalier aura plus intérêt à se tourner vers du reflex, alors que le photographe de rue pourra faire de superbe image avec un hybride.

          Ensuite, tout dépend du résultat voulu, celui qui est fan de la photo tranquille mais qui adore le rendu d’un 50mm f/1,2 n’aura pas d’équivalent avec les hybride, ou difficilement.

  7. Les hybrides sont vraiment de plus en plus intéressants, et en tout cas, pour ma part en tant que NON Pro, j’envisage de plus en plus d’en prendre un pour alléger mon sac photo. Reste à savoir si, venant de l’excellent 6D, je ne serai pas déçu…

    • Houlà, passé du 6D à l’Olympus n’est pas la meilleur des choses selon moi.

      Attention, je ne dis pas que l’EM-1 démérite, au contraire, mais si tu vas gagner en poids, on reste tout de même loin de ce qu’offre un capteur FF qui de plus à une montée en ISO exceptionnel.

      Je pense que le changement n’est pas une bonne idée dans ton cas.

    • D’ici que Sony offre une palette d’objectifs aussi large que Canon, il risque de passer du temps. Je ne te dis pas de ne pas faire le pas, mais de bien réfléchir avant de la faire et de faire preuve de patience.

  8. Salut,

    Merci de me faire découvrir une marque que je ne connais absoluement pas au niveau de la photographie. J’ai déjà eu l’occasion de croiser ce nom dans certains hôpitaux – laboratoires ou lors de manifestations avec des journalistes utilisant leurs caméras.

    C’est donc avec plaisir que j’ai lu ton article.
    La 1ère impression en voyant le boitier c’est qu’il ressemble à un boitier argentique et qui semble avoir une bien meilleure définition et érgonomie que le Nikon Df mais reste semblable au Fuji X-T1.

    Après je contaste en lisant ton test que ce boitier peut être une bonne alternative selon l’utilisation avec un bon AF et une bonne gestion des couleurs.

    Je te remercie de m’avoir fait découvrir cette marque que je ne connaissais pas et je remercie également Olympus de t’avoir prêter ce boitier pour nous le faire découvrir.

  9. fab

    Heureux propriétaire depuis quelques temps de cet appareil, j’en suis très satisfait! Je possède déjà une partie des optiques fixe prime quelques zooms (possédant aussi le e-m5) qui donnent des résultats impressionnants couplés à ces boîtier vu la taille du capteur… je les conseille vivement pour profiter pleinement de ces petit bijoux. Je ne vais faire l’apologie de toutes les qualités de ce boîtier, vous les trouverez facilement sur de nombreux sites et forum, comme celui-çi qui est très bon d’ailleurs et que je lis souvent sans forcément… participer…
    prems! :lol:

    Je voudrais simplement informer les futurs acquéreurs potentiels de quelques petites déceptions que j’ai eu… Ce qui est plus rare et demande des recherches plus spécifiques!

    Je trouve qu’une des faiblesse de cet appareil est le bruit généré par le capteur (je parle de hot pixel) sur les poses longues sans avoir activé la réduction de bruit (NR).
    Je suis fan de “startrails” et quand on fait une centaine de prise de vues sans interruption, on est obligé de la désactiver, cet appareil est loin du résultat que j’obtiens avec le e-m5… même avec un “dark” il sera difficile de rattraper la chose. avis aux amateurs… (dommage pour un appareil qui se veut être le flagship de la marque) :mrgreen: . Par contre avec la NR activée, rien à redire, le fichier est vraiment nickel!

    Dans les tous petits détails:
    Idem pour le HDR, très pratique… mais celui-ci désactive automatiquement le fameux (NR) sur une pose longue (filtre ND) du coup… même problème. Dans ce cas c’est moins grave car on peut toujours faire les x prises de vue manuellement en activant la réduction de bruit. Mais du coup pour une pose longue le HDR n’est pas utilisable.

    je trouve aussi dommage que pour un HDR auto (HDR1, HDR2) qui compile immédiatement les x prises de vue et génère un JPG tout de suite dans le boitier, les mode image ne sont pas utilisable, donc pas possible de faire une prise de vue en HDR auto en NB par exemple… même chose on peut remédier à ça en faisant nos x prises de vues en HDR non auto… editer le fichier JPG directement dans l’appareil en lui attribuant un mode image noir blanc après la prise de vue ou changer le mode image dans le fichier RAW après la prise de vue, donc pas si grave!

    Soyez rassurés, hormis ces petits détails, je dois admettre que le e-m1 ainsi que le e-m5 m’ont donné entière satisfaction, qu’ils sont très polyvalents et qu’ils m’ont tellement impressionés que j’en viens souvent à laisser mon reflex à la maison (canon 70D) au bénéfice de ces hybrides qui allient grande compacité et qualité. Je trouve que la gamme optique est très très bonne (face à la concurrence) et s’agrandit de jour en jour.

    Bref un très bon choix dans la majeure partie des situations! Je le conseille vivement pour qui veut photographier léger! Un réel plaisir! Pas de soucis, ce boîtier joue dans la cour des grands! vraiment un petit bijou! :ll:

  10. Ma seule expérience avec olympus fut un compact à une époque fort fort lointaine et j’en avais été fort satisfait.
    Ce petit appareil a vraiment l’air sympathique !

    et merci pour l’article ;)

  11. FAYARD

    Salut Darth,

    J’ai acquit cet appareil (avec Obj 14-40 f2.8) il y a qq mois en remplacement du canon 7d, et aprés avoir écumé tout les sites et forums parlant de l’OM DE M1. Je me suis décidé à l’acheter en constatant que des critiques positives. Ors, je constate aujourd’hui que cet appareil donne un trs mauvais piqué en comparaison au Canon 7d.
    Alors ok c’est un assez bon appareil, un bon dans la gamme des hybrides. Mais pourquoi jamais personne ne mentionne ce défaut de piqué, ou souligne que le résultat final est loin de celui d’un réflex. Est ce la condition pour que Olympus prête un modèle pour essai ?
    Au moins ce sera dit une fois et peut être que des futurs acheteurs en seront avertis : la qualité finale est loin de la qualité d’un réflex. Pour le reste, c’est plutôt positif.

    Merci

  12. Bernard VIOLET

    Fidèle à OLYMPUS depuis de nombreuses années, pen 18/24, OM, E3, M5, je me posais la question quand à l’achat d’un OLYMPUS M1.Votre Test a répondu à mon questionnement, Merci.

  13. Meutémédian

    j’ai lu avec attention vos 2 tests concernant le
    OM-D E-M1
    et le test
    Fuji X T 1
    J’ai un canon 5 d mark 3 mais je ne peux plus l’utiliser ( problème d’épaule ).. trop lourd
    alors quel choix entre les 2 cités ci dessus pour avoir une qualité d’image la moins éloignée du 5 d ..je sais ..difficile de comparer

    En tenant également compte des optiques disponibles pour ces 2 appareils
    merci beaucoup et encore bravo pour la qualité de vos articles
    Meilleures salutations

    Lory

  14. Salut Darth, je suis tombé sur ton poste car je cherchais un test sur cette appareil, je viens du monde Sony et je voulais voir ce que proposait la concurrence. J’ai lu que tu critique les noir bouchés et les blancs cramée dans le viseur mais tu dois bien savoir que tu n’aura pas les deux en meme temps, la plage de dybamique dun capteur photo ne permet pas de restituer ce que ton oeil vois. Donc tu as dans le viseur ce que tu aura sur ton ordice qui ai largement mieux qu’un reflex a miroir qui te mens……
    Bon sinon pour le prix 1200 je crois ? je trouve que le sony a7 est meilleur car il est ” plein format ” et la monté en iso est largement mieux, le bokeh aussi dailleur. DXO donnes dailleur 90 sur 100 au A7 et EM1 73…. il se fait meme battre par le petit mais non moins exellent a6000 qui a un capteur apsc donc meilleur que le 4/3 avec un score de 82 et il coute que 550 euro….
    Je suis pro est je bosse avec un sony a7s car il monte aussi haut que les meilleurs reflex canon qui coute s les 5000 euro…. alors que le sony coute 2200 et bien evidement tellement moi lourd et encombrant.

  15. seb

    Quelqu’un pourrait me dire comment mettre l’enregistrement sur pause plutot que stop ?
    Ce dernier a pour conséquence de générer un nouveau fichier vidéo, ce que je ne souhaite pas ?
    Merci par avance pour votre aide.

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