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[Test terrain] Nikon D500

Le Nikon D500 est le genre d’appareil, qui a su se faire attendre un peu à l’instar de son concurrent direct, le 7D Mark II de Canon.

Il faut dire, qu’en 2009 Nikon sortait le D300s, sorte de mise à jour du D300, l’appareil APS-C Pro de Nikon, puis … plus rien.

Sur ce coup, autant que Canon que Nikon ont joué les prolongations, le 7D MKII et le D400 étaient de vrais serpents de mer, entre ceux qui ne cessaient d’espérer et ceux, qui voyaient simplement la fin de l’APS-C pro, durant plusieurs années, il y avait de quoi alimenter toutes les hypothèses.

Moi le premier, j’ai pensé qu’il n’y aurait jamais de suite au D300s, certain que le monde de l’APS-C pro était sur la fin … comme je me suis trompé!

Et pas seulement sur la mort de l’APS-C Pro, mais sur la capacité de Nikon à réagir, certain que si l’une des deux marques sortait un APS-C haut de gamme, l’autre allait réagir immédiatement.

J’étais si sûr de ça que lorsque Canon a annoncé sont 7D Mark II en 2014, j’étais certain que dans les mois à venir, Nikon lancerait son offensive … ce qui ne fut pas le cas.

C’est en début d’année 2016 que la marque jaune annonce l’arrivée du bébé, une longue période, qui laisse supposer que Nikon a travaillé sur le jouet, qui concurrencerait celui de la marque rouge pendant un bon moment avant de pouvoir le sortir, même s’il est certain qu’ils avaient déjà une bonne base.

Nous allons donc voir aujourd’hui si ce travail des ingénieurs a porté ses fruits et si on tient là un vrai boîtier pro, digne descendant du D300s.

Pré-Test :

Haaaaa … le Nikon D500, ENFIN, sur le papier un digne héritier du fameux D300(s), je dois avouer que j’étais excité comme une puce quand le colis est arrivé avec ses trésors à l’intérieur, un pur moment de bonheur.

Parfois, il ne faut pas grand-chose pour rendre une personne heureuse et je reconnais sans honte que ce genre de jouet a le don de me mettre particulièrement de bonne humeur … surtout si on prend le temps de s’attarder sur sa fiche technique:

Fiche technique

  • Capteur : CMOS APS-C 20.9 millions de pixels
  • Antipoussière : oui
  • Viseur: optique : 100 % – X 1 – 16 mm
  • Écran : 8,1cm 2,36 millions de pixels
  • Mise au point : 153 collimateurs (dont 15 sensibles à f/8) 99 croisés fonctionne de -3 à +20 IL (capteur central à -4) 53 sélectionnables
  • Mise au point Liveview: détection de contraste
  • Mesures d’exposition : Capteur CMOS RGB 180’000px
  • Modes d’exposition : évaluative, pondérée centrale, sélective et spot
  • Vitesse d’obturation : 30 à 1/8000 seconde vitesse synchro-x 1/250s
  • Motorisation : 10 images par seconde illimitée en JPEG et sur 200 vues Raw
  • Sensibilité ISO : 50 à 51’200 ISO extension jusqu’à 1’640’00 ISO
  • Mémoire : double XQD / SD
  • Vidéo : UHD 3840 x 2160 jusqu’à 30 fps Full HD 1920 x 1080 60 fps
  • Alimentation : EN-EL15
  • Connexion : USB 3, HDMI type C, micro, casque, télécommande, flash
  • Dimensions et Poids : 147 x 115 x 91mm pour 890 g

Comme on peut le remarquer, il y a de quoi avoir le sourire, surtout qu’on remarque très vite que le petit a pris beaucoup de son grand frère le Nikon D5.

Ergonomie :

Le Nikon D500 reprend les grandes lignes de l’ergonomie de la marque jaune, on retrouve la même logique que sur les autres boîtiers.

Pour autant, il est clair que c’est à son grand frère, le D5, qu’il emprunte le plus sa conception ergonomique, ce n’est pas tant visible sur la face avant qui reste très sobre, que sur le capot supérieur ou l’on voit une certaine similitude dans la logique de placement des commandes.

Il y a bien des différences, par exemple, le trèfle du D500 comporte 4 boutons pour gérer les modes, la mesure lumière, la qualité d’image et la balance des blancs, alors que son grand frère n’a que trois bouton, mode, braketing et mesure lumière, différence logique, vu que la plupart des commandes sur le trèfle du D500 sont placées sur le D5 à l’arrière du boîtier, profitant du surplus de place offert par le grip vertical intégré.

Sur l’épaule droite, on retrouve par contre la même disposition, le commutateur en couronne autour du déclencheur, le bouton d’enregistrement direct, le bouton ISO, qui est ENFIN à portée d’index et la correction d’exposition.

Le dos du boîtier nous offre aussi la même logique que sur le D5, différent pour certains détails on retrouve presque les même disposition pour les commandes principales, mais le D500 gagne en prime un écran inclinable à défaut d’être orientable, ce qui est déjà très bien et offre un confort supplémentaire non négligeable.

Sur le côté et à l’avant, on retrouve les différentes connectiques, USB 3, HDMI, casque, micro, branchement pour le module GPS, prise flash et télécommande.

Pour les cartes mémoire, c’est le double slot SD et XQD, qui est proposé, tout comme pour le D5. Je ne comprends pas vraiment l’intérêt du format XQD, alors que les autres marques semblent avoir fait le choix de la CFast, je pense que sur le long terme cela va pénaliser ce format.

Poids et prise en main :

Plus petit que son grand frère, le Nikon D500 reste un bon bébé de presque 1 kg sur la balance et des mensurations qui nous rappellent qu’on est dans le haut de gamme de l’APS-C.

À l’instar de son grand frère, il est fait pour barouder et de fait, faire face aux conditions les plus difficiles, moulé d’un bloc en alliage de magnésium et pourvu de très nombreux joints, qui lui assurent une très bonne protection contre la poussière et les éclaboussures, c’est le genre de boîtier que l’on ne craint pas de prendre sous la pluie et emmener sur les terrains les plus difficiles.

Si l’ergonomie générale reste très proche de ce que l’on trouve sur les boîtiers Nikon habituellement, les ingénieurs ont revu un peu l’ergonomie et certains changements apportent un vrai confort supplémentaire à l’utilisation.

ENFIN! Ils ont mis un bouton ISO accessible à l’index, depuis le temps que je peste sur Nikon, car leur bouton ISO était mal placé, je suis ici vraiment ravi de voir qu’ils l’ont enfin mis au bon endroit!

Bonne idée aussi d’avoir mis le rétroéclairage des boutons, toujours aussi agréable. Une idée simple, mais d’une efficacité redoutable (monsieur Canon, si tu nous entends).

Je félicite aussi Nikon d’avoir mis un VRAI écran tactile digne de ce nom et qui bien sûr nous facilite la vie et offre un vrai confort. C’est d’autant plus vrai que j’ai encore et toujours l’impression que c’est un spécialiste de la torture mentale qui a fait les menus chez Nikon, mais au moins avec l’écran tactile, on s’en sort un peu mieux.

Bref, pas mal de positif pour l’ergonomie générale et la prise en main de ce nouveau jouet.

Le viseur :

Plus personne n’ignore que je suis un amoureux des beaux viseurs optiques et de ce côté-là Nikon a toujours été très fort.

Le viseur du Nikon D500 est pas mal sans être exceptionnel, il  propose un grandissement de 1x ce qui est “normal” sur un APS-C de cette gamme et un dégagement oculaire de 16mm (seulement) ce qui est un peu limite à mon sens, quand on sait que le 7D MKII a un dégagement oculaire de 22mm … ça laisse songeur.

Pour le reste, on est sur du superlatif, un viseur clair, avec toutes les infos nécessaires et bien sûr 100% un must et ce qui saute au yeux, c’est la couverture AF juste énorme, mais on en reparlera plus en détail un peu plus bas.

La qualité d’image :

Nikon D500 | Nikkor 24-700mm f/2,8 VR | f/7,1 | 1/80s | 800 ISO

On peut dire que le Nikon D500 reprend dans les grandes lignes les mêmes points forts que son grand frère, même technologie de capteur, mais au format APS-C, même module de mesure lumière et même l’AF est identique, ce qui lui offre une couverture impressionnante.

On peut donc s’attendre à ce que le petit nous offre tout du grand, voyons ça ensemble.

Comme on ne change pas une équipe qui gagne soulignons que …

Comme vous commencez à le savoir maintenant, je teste la qualité d’image en tenant compte de trois points bien précis.

Ce sont toujours les mêmes, car ce sont vraiment ces points qui définissent la qualité de l’image au final.

Et ces différents points, qui rentrent en ligne de compte pour offrir la meilleure qualité d’image qui soit dans toutes les situations possibles, sont :

  • La qualité de l’exposition.
  • La qualité de l’AF et son suivi.
  • La qualité des images fournies et la gestion de la montée en ISO.

Nous allons donc détailler tout ça, afin de connaître la qualité d’image que délivre notre cher D500

Commençons par…

La qualité d’exposition :

Nikon D500 | Nikkor 600mm f/4 VR II | f/4 | 1/2’000s | 100 ISO

Pour la partie exposition, je vais me permettre de faire un copier-coller de ce que j’ai écrit sur le D5, car c’est exactement la même chose:

Pour gérer l’exposition, le Nikon D500 fait appel à un capteur CMOS de 180’000 pixels, qui sait reconnaître formes et couleurs.

Ainsi, le module de mesure lumière sait “reconnaître” le sujet principal de son arrière-plan pour une mesure plus précise.

Je sais, je sais, je me répète beaucoup, je sais que j’ai déjà écrit ça souvent, mais il est clair qu’à l’heure actuelle, il est réellement difficile de prendre un boîtier en défaut. Sur les reflex on est toujours proche du sans-faute et ceci quelle que soit la marque. Le Nikon D500 ne déroge pas à cette règle, il juste impeccable en nous offrant une mesure lumière proche de la perfection.

Sur le terrain, cela donne une exposition que l’on a peine à prendre en défaut. Que l’on soit en contre-jour, à la tombée de la nuit, en lumière artificielle ou naturelle… etc.

Pas moyen de vraiment piéger l’appareil ou alors seulement en le poussant vraiment dans ses derniers retranchements… Et là encore, ce n’est pas l’exposition même qui déclare forfait, mais la dynamique du capteur qui ne peut physiquement plus tenir la route, même s’ils ont aussi amélioré les choses de ce côté-là, comme nous le verrons plus loin.

Dans tous les cas, on peut compter sur les outils tels que la correction de luminosité, qui sont plutôt efficaces pour aider à gérer au mieux les scènes difficiles.

Bon j’avoue, vous avez déjà lu ça, mais c’est parce que c’est une réalité.

Autofocus, rafale et piqué :

Nikon D500 | Nikkor 600mm f/4 VR II | f/4 | 1/640s | 250 ISO

Soyons franc, prendre le module AF du D5 pour le mettre sur le D500 était une idée de génie, en effet, un module prévu pour un 24×36 placé dans les entrailles d’un APS-C et voilà que la couverture AF fait presque tout le cadre.

Il faut dire que nos amis de chez Nikon nous ont vendu du rêve!

153 collimateurs AF sensibles de -4 à +20IL, surface étendue, 99 capteurs en croix, dont le central sensible à -4 IL, mesure lumière couplée à l’AF et un processeur dédié à cette unique tache, une première chez Nikon.

Au-delà de la fiche technique, qu’est-ce que cela donne sur le terrain.

Déjà, il faut savoir que 153 collimateurs, même si ça fait rêver, ce n’est pas gérable, il y en a bien trop, c’est pourquoi Nikon a limité à 51 le nombre de ces capteurs sélectionnables, les autres étant là en appui.

Sur le terrain, le module AF est proche du sans-faute et sa répartition très très … très  large offre un vrai confort, on peut réellement sélectionner un capteur sur presque toute la largeur et la hauteur du viseur.

Tout comme pour l’AF du Nikon D5  celui du D500 est entièrement paramétrable ce qui offre la possibilité de le personnaliser selon ses besoins du moment.

Quand l’engin accroche un sujet, si on a fait les bons réglages, il va le garder dans la zone de netteté avec une efficacité impressionnante, on est clairement avec un des tout meilleurs AF du monde sur APS-C.

Autant dire qu’avec sa rafale à 10 images par seconde en continu et que l’on peut facilement garder sur plus de 200 vues en RAW, on peut obtenir de très belles séquences avec un piqué exceptionnel.

Il faut dire que couplé à de beaux objectifs on obtient de superbes images, croustillantes de détails, un plaisir pour les yeux, d’autant que la colorimétrie s’est plus que largement améliorée et on trouve des couleurs très justes, bravo pour cet effort!

Un peu comme pour son grand frère, j’aurais aimé que Nikon prenne les devant en offrant une rafale un peu supérieure à son concurrent direct, un petit 11 images par seconde auraient été psychologiquement une victoire face à un 7D MKII … qui prend déjà de l’âge en rentrant dans sa troisième année.

La gestion de la montée en ISO :

Nikon D500 | Nikkor 24-700mm f/2,8 VR | f/2,8 | 1/80s | 12’800 ISO

Explication importante

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je voulais faire une petite précision que vous retrouverez sur tous mes prochains tests.

Depuis longtemps déjà, j’illustre le chapitre de la montée en ISO avec une photo de Lego. On m’a plusieurs fois fait la remarque que ce type de photo manquait de texture et d’autre petite chose pour qu’elle soit valide pour ce genre de test.

Il est donc à noter que ce n’est QU’UNE SIMPLE PHOTO D’ILLUSTRATION, qu’elle n’est là que pour appuyer mon propos, qui lui ne se base pas sur cette image, mais sur toutes les photos réalisées sur le terrain et dans des conditions réelles d’utilisation.

C’est de là que je tire mes conclusions, et n’ont pas d’une seule photo d’un set Lego, aussi sympathique soit-il.

Nikon D500 | Nikkor 24-70mm f/2,8 VR | f/7,1 | 1/15s | 25’600 ISO

Un capteur APS-C avec la même densité de pixel que le capteur 24×36 de son grand frère, cela allait forcément “diminuer” les performances de sa montée en ISO.

Alors, certes, on a toujours les chiffres pour faire rêver avec un boîtier qui atteint le million d’ISO, mais de base le D500 a officiellement 1 IL de sensibilité en moins que le D5, ce qui est logique vu que sur une surface plus petite, on a le même nombre de photosites. Ceux-ci sont plus petits et donc plus difficiles à pousser dans la montée en ISO.

Pour autant, le D500 est très loin de démériter…

Comme vous le savez maintenant, si vous êtes un habitué, cela fait un moment que j’ai pris le parti de ne plus faire une série de photos à chaque valeur ISO pour vous les présenter.

Je pense simplement que prendre un objet en augmentant la valeur ISO n’est pas un compte rendu juste de la réalité du terrain !

En effet, un éclairage qui donne un 1/20 de seconde à f/5,6 pour 100 ISO, donnera 1/5’000 de seconde à la même ouverture pour 25’600 ISO, ce qui est loin d’être la situation lumineuse la plus catastrophique. De fait, le fichier présenté ne souffrira que très peu du manque de lumière, ce qui sur le terrain est bien différent. En règle générale, on utilise de telles valeurs pour pallier un manque de luminosité.

Quand on regarde la photo d’illustration ci-dessus, on voit qu’elle a été prise à 1/15 de seconde, à une ouverture de f/7,1 pour 25’600 ISO.

Comme on peut le constater si vous Clique ICI pour voir le crop 100% de cette belle maison blanche en Lego, le fichier est étonnamment propre avec des noirs profonds bien rendus!

Sur ce point Nikon nous montre son savoir-faire et sa maîtrise de la gestion du bruit numérique avec des fichiers particulièrement propres.

On est d’autant plus à l’aise en ISO auto qu’on sait qu’il sera capable d’assurer jusqu’à des valeurs très intéressantes, 25’600 ISO offrant une qualité étonnante.

Le Nikon D500 a une plage ISO qui s’étend de 50 à 51 200 ISO avec une position étendue jusqu’à 1 640 000 ISO. Je conseillerai de rester à 12 800 ISO, valeur qui est encore exploitable de belle façon, de réserver les 51 200 ISO en cas de besoin, sachant que pour être imprimé il faudra un peu de travail, mais c’est tout à fait surmontable, et enfin de garder la valeur plus élevée uniquement pour du dépannage et carrément oublier les valeurs les plus extrêmes.

La vidéo et autres :

Nikon D500 | Nikkor 70-200mm f/2,8 VR II | f/2,8 | 1/8’0000s | 500 ISO

Commençons par la vidéo, comme vous le savez, si j’essaye de m’améliorer sur ce point précis, car je commence à apprécier de plus en plus, je ne suis pas un expert du domaine.

De fait, je vais vous faire un retour, qui se veut le plus objectif possible, mais sans entrer dans les détails.

À l’instar de son grand frère, le Nikon D500 est pourvu d’une section vidéo assez basique, on a bien accès au 4K (qui est une version UHD soit plus petit qu’un vrai 4K cinéma) et permet de filmer

En UHD il peut filmer durant 30 minutes (il va couper la séquence en 8 fichiers de 4Go maximum) à une vitesse maximum de 30 images par seconde avec un énorme coefficient de recadrage, vu qu’on sera à x1,5 (soit 2,2 en équivalant FF) ça fait un peu mal.

En Full HD on peut monter à 60 images par seconde, quand on sait que l’engin peut filmer en UHD, on se demande pourquoi ils n’ont pas ouvert l’accès à des vitesses de 100 ou 120 images par seconde, c’est presque triste de se dire qu’un simple iPhone fait mieux et qu’ici on a pas doit au slowmotion alors qu’il en a clairement les capacités.

Comme l’autofocus en mode vidéo fonctionne par détection de contraste, on se retrouve avec un AF bien trop lent avec une tendance à pomper, qui ne donne pas envie de l’utiliser, on est plus à l’aise avec une mise au point manuelle dans ce cas précis.

En bref, le mode vidéo est là et remplit le service minimum pour un appareil sorti en 2016, mais ne va pas au-delà de ce minimum, ce qui est dommage, je pense, surtout quand on sait que de plus en plus de photographes s’intéressent à la vidéo.

Pour ce qui est des autres “options” je vais dire un GRAND bravo au WiFi et NFC intégré d’office, ce qui est un vrai plus que l’on apprécie de plus en plus.

Certain pourront regretter que le module GPS ne soit pas intégré d’origine et qu’il faille acheter un module externe pour y avoir droit. De mon côté je préfère avoir le WiFi et pas le GPS que le contraire, surtout quand on a un WiFi de bonne qualité, qui permet de vraiment piloter son appareil.

Conclusion :


Nikon D500 | Nikkor 70-200mm f/2,8 VR II | f/6,3 | 1/320s | 100 ISO

Voilà un appareil que l’on attendait depuis très longtemps et nos amis de Nikon n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère, c’est clairement un D5 version APS-C qu’ils nous ont offert.

Les différences sont minimes, une montée en ISO  d’1 IL plus faible, une rafale 2 images par seconde moins rapide, mais un module AF, qui englobe LARGEMENT plus de surface.

Je peux dire sans conteste que c’est à l’heure actuelle LE meilleur appareil photo APS-C du marché et que les propriétaires de l’engin ne peuvent être que des photographes comblés!

Je ne peux donc que vous le conseiller, vous ne risquez pas de le regretter.

Bon courage et bonnes photos.

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